Группа даст концерт в Silo в поддержку своего нового альбома "Dream Machine". L'album de l'émancipation
Il est toujours question de cicatrices à vif, de coeurs qui saignent, de nuits noires ou sans sommeil, du ciel aussi souvent, de larmes qui coulent ou pas, de cicatrices encore, parce que c'était toi, parce que tu es partie, prends ma main, et puis non, en fait, j'ai besoin d'être seul. Tokio Hotel est de retour. Au grand désespoir des profs d'allemand qui, au milieu des années 2000, avaient connu un inattendu engouement pour leur discipline, le dernier album est en anglais. Exit les guitares rock et les looks gothico-manga, le son lorgne vers la pop electro et le dress code a changé. Après un exil à Los Angeles, un album qui n'a pas reçu l'accueil attendu, le groupe aux 10 millions de disques vendus a sorti Dream machine début 2017 et est reparti en tournée. Bill, le leader, revient sur la deuxième vie du groupe.
Votre dernier album "Kings of surburbia" est sorti en 2014, suivi d'une tournée en 2015. Où étiez-vous passé depuis ?
Tokio Hotel : On n'a vraiment fait de pause après la dernière tournée. Tom et moi sommes retournés travailler en studio à Los Angeles et à Berlin. Cette fois, c'était vraiment différent. Nous avons tout fait nous-mêmes et c'était beaucoup de pression : c'était la première fois qu'on pouvait le faire, depuis notre rupture avec Universal. Nous étions libres à tous les niveaux, sans discuter avec aucune maison de disques, sans manager, sans rien. Et on a réussi à produire l'album en une année. Je suis assez fier de cela.
Aviez-vous peur que le public vous ait oublié ?
Tokio Hotel : Non, ça fait bientôt quinze ans qu'on est là... (rires) Il y a toujours les fans de la première heure, ceux qui ont grandi avec notre musique et qui continuent de nous accompagner. Et il y a un nouveau public, qui ne découvre le groupe qu'aujourd'hui, et tout cela donne un bon mélange.
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концерт 15 ноября в 23 часа (время по Москве) в Silo.
www.laprovence.com/article/sorties-loisirs/4707...
Il est toujours question de cicatrices à vif, de coeurs qui saignent, de nuits noires ou sans sommeil, du ciel aussi souvent, de larmes qui coulent ou pas, de cicatrices encore, parce que c'était toi, parce que tu es partie, prends ma main, et puis non, en fait, j'ai besoin d'être seul. Tokio Hotel est de retour. Au grand désespoir des profs d'allemand qui, au milieu des années 2000, avaient connu un inattendu engouement pour leur discipline, le dernier album est en anglais. Exit les guitares rock et les looks gothico-manga, le son lorgne vers la pop electro et le dress code a changé. Après un exil à Los Angeles, un album qui n'a pas reçu l'accueil attendu, le groupe aux 10 millions de disques vendus a sorti Dream machine début 2017 et est reparti en tournée. Bill, le leader, revient sur la deuxième vie du groupe.
Votre dernier album "Kings of surburbia" est sorti en 2014, suivi d'une tournée en 2015. Où étiez-vous passé depuis ?
Tokio Hotel : On n'a vraiment fait de pause après la dernière tournée. Tom et moi sommes retournés travailler en studio à Los Angeles et à Berlin. Cette fois, c'était vraiment différent. Nous avons tout fait nous-mêmes et c'était beaucoup de pression : c'était la première fois qu'on pouvait le faire, depuis notre rupture avec Universal. Nous étions libres à tous les niveaux, sans discuter avec aucune maison de disques, sans manager, sans rien. Et on a réussi à produire l'album en une année. Je suis assez fier de cela.
Aviez-vous peur que le public vous ait oublié ?
Tokio Hotel : Non, ça fait bientôt quinze ans qu'on est là... (rires) Il y a toujours les fans de la première heure, ceux qui ont grandi avec notre musique et qui continuent de nous accompagner. Et il y a un nouveau public, qui ne découvre le groupe qu'aujourd'hui, et tout cela donne un bon mélange.
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